L'épicerie Sino

Zanza quitta donc la villa et se retrouva en pleins centre d'Edo. Il ne savait pas ou aller faire les courses tellement qu'il y avait de magasins.Il marcha un peu dans les rues surpeuplés de touriste et d'habitant. Il se faisait bousculer de temps en temps mais ne bronchez pas. Puis il tomba nez à nez sur une épicerie ou il y avait un problème. L'épicerie était petite par rapport aux magasins. Le panneau ou était écrit le nom "Epicerie Sino"
tenait qu'un peu.Le problème était qu'un homme avait volé dans ce magasin et que le gérant l'avait vu. Le voleur avait des vetements misérables et il était maigre comme tous. Le gérant n'étais pas plus gros d'ailleurs mais il avait des vetements plus potables. Zanza entra et demanda ce qu'il se passa .Après quelques minutes de réflexion Zanza paya ce qu'avait payé le voleur pour arranger les choses et pour ne pas voir un homme mourir de faim.

*Que c'est triste de voir dans une si belle ville des gens mourir de faim..*

Puis il fit ses courses tranquillement.Il prit le nécessaire pour la semaine et paya à la caisse.

"Gardez la monnaie"

"Merci beaucoup mon seigneur! Vous le plus grand client que je n'ai jamais eu!Encore merci!"

Après ces mots et d'autes Zanza partit avec son sac de courses au restaurant pour récolter de nouvelles informations

Tohru entra dans l'épicerie, acheta ce dont l'okiya avait besoin puis s'appretta à sortir lorsqu'un client l'interpella.

" Eh la maiko ! "

Tohru se retourna, l'homme qui l'avait appellé portait de beaux vêtements. Il était bien portant mais pas très jeune. Ce devait être un homme de bonne famille car la jeune fille s'inclina devant lui.

" Tu m'as l'air un peu maigre, quel âge as-tu petite ? "

Tohru s'inclina de nouveau avant de répondre.

" J'ai 15 ans monsieur "

" 15 ans ?! Je t'en aurais donné 12 ! Tu es bien trop petite pour ton âge.
Prend ces dangos mochis, si si ! Prend les, j'insiste. Tu grossira pas beaucoup en les mangeant mais ça ne te fera pas de mal "

La maiko prit les dangos mochis, s'inclina une dernière foi puis sortit de l'épicerie ne sachant pas quoi pensser.